dimanche 3 décembre 2017

Gaëlle Vermeer et Marie-Hélène Millet

Gaëlle Josse, Vermeer entre deux songes,
Invenit, 56 pages, 12 €
" Ekphrasis ", ce mot grec signifie " description ", ou exégèse, d'une œuvre d'art. C'est aussi le titre que les éditions Invenit ont donné à l'une de leurs collections dont l'idée de départ est simple : " confier au regard sensible d'un auteur une œuvre " remarquable ", trésor emblématique ou insoupçonné d'un musée. "
En sont résultées une quarantaine d'évocations signées par des plumes très variées, allant de Hubbert Haddad, Colette Nys-Mazure, Carolyn Carlson ou Régine Detambel jusqu'à Maurice Pons, Lucien Suel et Jacques Jouet, chargés d'ekphrasiser Hopper, le douanier Rousseau, Klee, Matisse ou Bruegel.
Les deux derniers titres parus sont l'œuvre de deux romancières bien connues et aimées d'A la Page, Gaëlle Josse et Marie-Hélène Lafon. L'une décrivant " La Jeune fille assoupie "de Vermeer ; l'autre s'attachant à la " Brûleuse d'herbes " de Millet.


Marie-Hélène Lafon, Millet, pleins et
déliés, Invenit, 26 pages, 12 €

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