mercredi 10 février 2016

Décapage

Décapage n° 54, 173 pages, 15 €
La revue Décapage est née il y a 54 numéros.
C'est donc une dame qui a traversé diverses expériences. Le librairie l'a connue un peu plus confidentielle. La voici depuis quelque temps recentrée et parlant sur un ton incessamment décontracté. Le ton de moult mooks (magazine+book = mook, qui ne le sait ?).
Au sommaire, un dossier consacré à Jérôme Ferrari (" auteur discret et rare " dit Décapage).
Une thématique dans laquelle la rédaction a interrogé une palanquée d'écrivains pour savoir ce qu'ils faisaient de " leurs journées passées à faire autre chose qu'écrire " (ce qui suppose qu'ils font quelque chose quand ils écrivent).
Une rencontre imaginaire avec un " petit rigolo " (dit Décapage) nommé William Faulkner.
Et diverses chroniques dont l'unité tient à ce que les écrivains y parlent beaucoup d'eux-mêmes. Mais de manière décontractée. Toujours.
A part ça, Décapage diffuse des autocollants,
comme ceux-ci :

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